Danièle Langloys a beaucoup agi pour les personnes autistes en France.
Néanmoins, trois points nous questionnent fortement :
- Son récent soutien au dépistage néonatal des « maladies génétiques » (PJ), doublé de son absence de prise de position en matière de dépistage prénatal de l’autisme.
- Son absence de réponse concernant les maltraitances dans le FAM de Saran, en Loir-et-Cher, dont Autisme France est l’association gestionnaire, malgré plusieurs alertes.
- Son rôle actif dans la tromperie nationale Marian Giacomoni #Mariangate.
Revenons plus en détail sur chacun de ces points :
Tout président ou toute présidente d’association du domaine de l’autisme n’ayant pas explicitement pris position contre une autorisation d’interruption médicale de grossesse après dépistage d’un variant génétique de l’entité « autisme » ou « TSA » ne peut se prétendre ami(e) ou allié(e) des personnes autistes.
En 2013, dans un article de La Croix, Danièle Langloys parlait d’agir… « contre l’autisme ». Elle nous a offert du racisme cognitif, en qualifiant des adultes autistes qui s’expriment par eux-mêmes… d’Aspies de service (le post a été effacé depuis). Elle continue à invectiver les adultes autistes qui s’expriment dans des commissions officielles, surtout si leurs positions divergent des siennes. Imagine t’on le président d’une association consacrée au Maghreb se plaindre de « l’Arabe de service » ?
Concernant le FAM de Saran, toute association prétendant agir pour le bien des « autistes sévères » au contraire des « Aspies de service » égoîstes et idiots ne devrait-elle pas commencer par faire le ménage dans ses propres établissements ?
Concernant l’affaire #Mariangate, Danièle Langloys a affirmé avoir soutenu Marian Giacomoni malgré ses doutes quant à la réalité de l’autisme de ce dernier, parce qu’il « pouvait lui servir ».
La pièce-jointe manquante